
Les restes de la porte en pierre, qui ressemblait à un dolmen oublié, semblaient rappeler la fragilité de notre existence éphémère. Des êtres humains se déplaçaient de dos en silence, guidés par une force mystérieuse qui les entraînait vers un avenir inconnu.

Leur silhouette semblait familière et en même temps énigmatique et était enveloppée d’un halo indéchiffrable.
Le crépuscule leur donnait une aura mystique, leurs ombres projetées s’étirant tels des tentacules en dehors du cadre. Ces individus semblaient être attirés par un appel lointain, un murmure venu d’un autre monde. Leur quête était semblable à celle des fourmis qui construisent leur fourmilière, guidées par une intelligence collective plus grande qu’elles-mêmes.

Mais peut-être que, à l’image de cette porte immense, leur voyage n’était pas seulement physique, mais aussi métaphorique, une quête de sens et de vérité dans un monde complexe et mystérieux. Peut-être que leur quête était celle de l’humanité tout entière, cherchant désespérément à percer les secrets de l’univers et à comprendre sa place dans ce monde.